La photographie de mode

Actualité publiée le 17 octobre 2023

La photographie de mode s’avère être la fusion entre l’art et le commerce. Il s’agit d’un genre photographique consacré à la mise en valeur de vêtements et d’accessoires de mode. La plupart du temps, une réelle mise en scène prend place : les mannequins posent devant les photographes de mode. Le but est de mettre en avant le produit porté, il s’agit donc d’un genre photographique à vocation commerciale.  

 Capturer l'élégance et le style à travers l'objectif - EFET Photographie © Pexels

 

L’histoire de la photographie de mode 

Bien que présente depuis le XIXe siècle, la photo de mode est peu utilisée à cette époque, qui privilégie les illustrations de mode. C’est au début du XXe siècle que celle-ci s’impose et est vivement utilisée par des magazines de mode comme Bazaar ou encore Vogue. Il s’agit très certainement de l’âge d’or de ce domaine. Paris est considéré comme le centre de la photographie de mode avec notamment certains photographes comme Edward Steichen, Jacques-Henri Lartigue et Man Ray.  

Entre les années 1920 et 1930, la photographie de mode est empreinte d’éléments surréalistes apportant une esthétique atypique.  

À partir des années 1960, la photo de mode connaît une croissance exponentielle, et impose la formation de nouveaux photographes.Entre les années 1960 et 1970, les œuvres sont marquées par les changements sociauxculturels de l’époque, les photographes tels que David Beiley ou encore Helmut Newton se font connaître.  

Après les années 90, une nouvelle ère débute, de nouveaux photographes font leur apparition. La photo de mode se voit changer en raison de l’arrivée de la photographie numérique et le traitement de l’image.L’arrivée d’Internet et des réseaux impacte ce secteur en le rendant beaucoup plus accessible. 

 

Quelques grands noms de la photographie de mode  

Comme cité précédemment, nous pouvons parler d’Edward (1879-1973) comme un pionnier de la photographie de mode. Celui-ci a réalisé une série de photos de robes de bal, conçues par le couturier Paul Poiret, avant de devenir photographe en chef de Vogue et Vanity Fair. 

Il est aussi possible d’évoquer le nom d’Irving Penn (1917-2009), ce photographe américain quia révolutionné la photographie de mode d’après-guerre. Il a aussi eu la chance de travailler chez Vogue et avec de grandes personnalités comme Yves Saint Laurent, Picasso ou encore Woody Allen.  

Intéressons-nous à une figure féminine cette foisci : Sarah Moon (1941). Cette dernière est une photographe de mode française qui se fait connaître à Londres dans les années 1970. Elle débute sa carrière en travaillant pour Biba, puis elle enchaînera avec Cacharel, Vogue, Comme des garçons, Chanel ou encore Dior. En 1995, elle reçoit le Grand Prix National de la photographie, en France. 

 

La photographie de mode est une activité qui requiert beaucoup de technique, se former en photographie est le meilleur moyen d’exceller dans ce domaine. L’EFET photographie propose unBachelor, prodiguant des enseignements de qualité et animé par des professionnels du secteur. Les stages ainsi que les différents évènements comme les expositions, viennent ponctuer l’apprentissage des étudiants. Ses derniers se forment ainsi en ayant conscience de la réalité du terrain. Restez informé et n’hésitez pas à candidater si la photographie vous passionne !  

Quelques prix photographiques à connaître

Actualité publiée le 11 octobre 2023

Les prix photographiques sont des évènements qui mettent en lumière le travail d’amateurs et de professionnels en photographie. Ils ont pour but de récompenser et d’encourager les photographes venant de différents horizons.Zoom sur trois prix photographiques français qui méritent d’être connus de tous !  

 

Les actualités de l'école - EFET Photographie

 © Pexels

 

 La Bourse du Talent 

Depuis 1998, La Bourse du Talent récompense de jeunes photographes qui débutent leur carrière. Il s’agit d’un évènement organisé par Photographie.com et Picto Foundation, accueillant tous les photographes, quelle que soit leur nationalité. Ce dernier met en avant chaque année quatre thématiques : « Reportage », « Portrait », « Mode & Transversalité » et « Paysage ». La Bourse du Talent est décernée chaque année à deux ou trois photographes. Les travaux de ces lauréats, sont ensuite exposés à la Bibliothèque Nationale de France dans le cadre de l’exposition annuelle « La Photographie à tout prix ». 

Picto Foundation organise aussi chaque année le Grand Prix Picto de la photographie de mode. Son lauréat remporte un appareil photo Leica, la production d’une exposition d’une valeur de 2000€ et l’opportunité d’intégrer les collections publiques du Palais Galliera, musée de la Mode de la ville de Paris. Plusieurs étudiants de l’EFET Photographie ont déjà participé à ce concours et bon nombre d’entre eux sont arrivés en finale.

 

Le prix photographique de la Villa Noailles 

Le centre d’art La Villa Noailles, situé dans la commune d’Hyères, organise chaque année au printemps, un festival de photographie comptant un Grand Prix et plusieurs autres prix. La 38e édition du festival aura lieu du jeudi 12 octobre au dimanche 15 octobre, cependant ses portes resteront ouvertes jusqu’au 14 janvier 2024.Étant donné qu’il s’agit également d’une exposition de mode et d’accessoires, celle-ci collabore avec de grandes enseignes telles que Chanel, LVMH ou encore Hermès.Ce sont de très belles récompenses qui attendent le lauréat du Grand Prix du jury de la photographie 7L, comme l’opportunité d’exposer son travail au festival suivant ou encore une dotation de 20 000 euros de la part de La Maison Chanel. 

 

 Le Prix Levallois Jeune création internationale  

Créer en 2008, ce prix récompense depuis 15 ans les jeunes talents internationaux. Il rassemble des photographes de moins de 35 ans et n’impose ni thème ni format. Les directeurs artistiques doivent, chaque année,sélectionner quinze nominés, avant de présenter leur dossier devant un jury. Le jury se compose de cinq membres : quatre experts de la photographie ainsi que de l’Adjoint à la culture de la ville de Levallois.Se déroule ensuite un vote en ligne afin de choisir le Prix du Public. Les photographes en tête pourront présenter leurs travaux à l’exposition de la Galerie l’Escale de Levallois en octobre-novembre. Le lauréat du prix reçoit une dotation de 10 000 euros et le lauréat Mention Spéciale ala chance de remporter unboîtier numérique. 

 

Participer à différents évènements (festivals, concours, Grand prix…) est une bonne façon de mettre en avant ses capacités de photographe. Suivre une formation en photographie représente le meilleur moyen de s’y préparer. L’EFET Photographie propose des enseignements de qualité de Bac à Bac+5. L’école prodigue tous les fondamentaux nécessaires aux photographes d’aujourd’hui.  

Quelques prix photographiques à connaître

Actualité publiée le 10 octobre 2023

 

Les prix photographiques sont des évènements qui mettent en lumière le travail d’amateurs et de professionnels en photographie. Ils ont pour but de récompenser et d’encourager les photographes venant de différents horizons.Zoom sur trois prix photographiques français qui méritent d’être connus de tous !  

 Les actualités de l'école - EFET Photographie

La Bourse du Talent 

Depuis 1998, La Bourse du Talent récompense de jeunes photographes qui débutent leur carrière. Il s’agit d’un évènement organisé par Photographie.com et Picto Foundation, accueillant tous les photographes, quelle que soit leur nationalité. Ce dernier met en avant chaque année quatre thématiques : « Reportage », « Portrait », « Mode & Transversalité » et « Paysage ». La Bourse du Talent est décernée chaque année à deux ou trois photographes. Les travaux de ces lauréats, sont ensuite exposés à la Bibliothèque Nationale de France dans le cadre de l’exposition annuelle « La Photographie à tout prix ». 

Picto Foundation organise aussi chaque année le Grand Prix Picto de la photographie de mode. Son lauréat remporte un appareil photo Leica, la production d’une exposition d’une valeur de 2000€ et l’opportunité d’intégrer les collections publiques du Palais Galliera, musée de la Mode de la ville de Paris. Plusieurs étudiants de l’EFET Photographie ont déjà participé à ce concours et bon nombre d’entre eux sont arrivés en finale. 

 

Le prix photographique de la Villa Noailles  

Le centre d’art La Villa Noailles, situé dans la commune d’Hyères, organise chaque année au printemps, un festival de photographie comptant un Grand Prix et plusieurs autres prix. La 38e édition du festival aura lieu du jeudi 12 octobre au dimanche 15 octobre, cependant ses portes resteront ouvertes jusqu’au 14 janvier 2024.Étant donné qu’il s’agit également d’une exposition de mode et d’accessoires, celle-ci collabore avec de grandes enseignes telles que Chanel, LVMH ou encore Hermès.Ce sont de très belles récompenses qui attendent le lauréat du Grand Prix du jury de la photographie 7L, comme l’opportunité d’exposer son travail au festival suivant ou encore une dotation de 20 000 euros de la part de La Maison Chanel.  

 

Le Prix Levallois Jeune création internationale  

Créer en 2008, ce prix récompense depuis 15 ans les jeunes talents internationaux. Il rassemble des photographes de moins de 35 ans et n’impose ni thème ni format. Les directeurs artistiques doivent, chaque année,sélectionner quinze nominés, avant de présenter leur dossier devant un jury. Le jury se compose de cinq membres : quatre experts de la photographie ainsi que de l’Adjoint à la culture de la ville de Levallois.Se déroule ensuite un vote en ligne afin de choisir le Prix du Public. Les photographes en tête pourront présenter leurs travaux à l’exposition de la Galerie l’Escale de Levallois en octobre-novembre. Le lauréat du prix reçoit une dotation de 10 000 euros et le lauréat Mention Spéciale ala chance de remporter unboîtier numérique. 

 

Participer à différents évènements (festivals, concours, Grand prix…) est une bonne façon de mettre en avant ses capacités de photographe. Suivre une formation en photographie représente le meilleur moyen de s’y préparer. L’EFET Photographie propose des enseignements de qualité de Bac à Bac+5. L’école prodigue tous les fondamentaux nécessaires aux photographes d’aujourd’hui.  

Qui a peur des femmes photographes ? 1839 à 1945

Actualité publiée le 27 septembre 2023

« Qui a peur des femmes ? 1839 à 1945 » est une exposition divisée en deux parties, qui a eu lieu d’octobre 2015 à janvier 2016.La première partie, 1839-1919, s’est déroulé au musée de l’Orangerie la deuxième partie, 1918-1945, a pris place au musée d’Orsay. Les femmes photographes européennes et américaines du XIXe et XXe siècle étaient à l’honneur durant cet évènement. 

Comme l’indiquent ces musées, cette exposition s’appuyait sur«des recherches nouvelles comme sur les nombreuses histoires de la photographie qui, depuis une quarantaine d’années, ont réévalué l’extraordinaire contribution des femmes au développement du médium, cette exposition et la publication qui l’accompagne sont les premières du « genre » en France. ».  

Le but premier de cette exposition était de montrer comment de grandes figures féminines ont façonné la photographie dans ses débuts. Elles ont couvert toutes sortes de sujets dans des périodes hautes en couleur comme l’entre-deux-guerres. Des clichés liés à leur vie domestique et familiale, aux thèmes plus intimes en passant par la botanique, c’est un large spectre d’idées que présentait l’exposition « Qui a peur des femmes ».  

Les créations de ces pionnières de la photographie renvoyaient à un constat simple : la photographie est avant tout un art ainsi qu’un processus de création d’image, alors pourquoi en faire une « affaire d’homme » ? 

 

© Pixabay

 

Première partie : 1839-1919 

 

Avec la première partie de cette exposition, 1839-1919, le musée de l’Orangerie avait pour but de mettre en lumière des chefs d’œuvres connus, mais aussi inconnus des pionnières de la photographie au XIXe siècle. Les travaux de plus de 70 photographes anglo-saxonnes étaient exposés. 

Dans le lot, nous pouvions retrouver les créations d’Anna Atkins (1799-1871), botaniste et photographe, très célèbre pour ses cyanotypies d’algues(procédé photographique monochrome négatif ancien), elle en fera un livre qui sera considéré comme le premier à être illustré avec des photographies. 

Julia Margaret Cameron (1815-1879) était une autre artiste notable dont les fameux portraits et autres photographies inspirées de la peinture préraphaélite, étaient exposés. 

Les photographies dImogen Cunningham (1883-1976), étaient également présentes. Celle-ci a marqué au fer rouge la photographie américaine du XXe siècle par ses clichés aux thèmes variés. 

 

Deuxième partie : 1918-1945 

 

Durant cette période, les femmes photographes, aux côtés des hommes, ont forgé la photographie moderne et celle de l’entredeuxguerres. Cette deuxième partie, organisée par le musée d’Orsay, mettait en avant des thèmes déjà abordées dans la première. En effet les sujets, traités premièrement (l’intimité, l’identité, la nature morte, l’autoportrait…) étaient, ici, approfondis. 

Les œuvres de Madame Yevonde (1893-1975), pionnière de la photographie en couleur, étaient au rendez-vous. Sa carrière commença en 1910 et, cette même année, elle participa activement en tant que militante pour le droit de vote des femmes aux côtés des suffragettes.   

Il était aussi possible de retrouver les créations de Marianne Breslauer (1909-2001), photographe allemande, principalement connue pour ses photographies de rue, mais aussi son autoportrait semishabillée. 

Au-delà de ces thèmes, cette exposition dévoilaient aussi comment certaines femmes ont remis en cause des normes sociales, comme le rôle des femmes et des hommes. Elles ont aussi commencé à travailler dans des secteurs, qui était principalement masculins, à l’époque (photojournalisme, publicité etc.). 

Par exemple, il était possible de retrouver les clichées de Margaret Bourke-White (1904-1971), correspondante de guerre durant la Seconde Guerre mondiale, sur la libération des camps. 

Pour finir, « Qui a peur des femmes »a mis en lumière comment la photographie a joué un rôle majeur dans la vie de ces femmes, en les aidant à s’insérer dans un réseau professionnel. Il s’agissait aussi d’un moyen pour elle, de s’épanouir d’un point de vue créatif et de s’émanciper, en prenant de la distance avec les contraintes familiales et domestiques de l’époque.  

 

La photographie est un outil permettant de documenter des faits, d’informer et de transmettre des émotions. En quelques mots, bien maîtrisé, il s’agit d’un procédé artistique qui fait bouger les choses. Afin d’acquérir toutes les notions techniques requises dans ce domaine, suivre une formation en photographie est un passage obligé. L’EFET Photographie propose un Bachelor, de Bac à Bac+3 abordant tous les fondamentaux de la photographie pour vous permettre d’exercer différents métiers dans ce secteur. 

À quoi servent les objectifs à bascules et décentrements ?

Actualité publiée le 22 septembre 2023

Qu’ils s’appellent TS pour Tilt-Shift ou PC pour Perspective Control, les objectifs à bascules et à décentrements ont pour point commun un ou plusieurs mécanismede déplacement de leur bloc optique. Ils sont utiles en photographie d’architecture, en paysage ou au studio. Explications. 

 

 © Pixabay

Cas concret d’utilisation 

 

Prenez pour exemple une photo de monument que vous souhaitez réaliser depuis son parvis. Si le bâtiment est grand, vous serez obligé de le photographier en contre-plongée. Ce qui aura pour conséquence sur votre image une inclinaison des lignes parallèles de sa façade : elles vont sembler se rejoindre en un point de fuite situé au-dessus du bâtiment. Sa façade prendra donc la forme d’un trapèze avec une base plus large que le haut.  

Afin d’éviter ces déformations, il n’y a pas d’autre solution que de placer son capteur parallèle à la façade. Mais vous cadrerez alors beaucoup de sol et n’atteindrez certainement pas le haut du monument. Avec un objectif à décentrement, vous allez procéder de la sorte, mais vous pourrez ensuite opérer une translation du bloc optique de manière à cadrer toute la surface de la façade sans déplacer votre appareil. Votre capteur restant parallèle au bâtiment, la façade n’est pas déformée tandis que le décentrement de l’objectif permet de cadrer correctement.  

Si les logiciels de retouche d’image proposent de redresser les perspectives en réalisant une torsion de l’image, l’opération n’est pas aussi qualitative qu’avec un objectif adapté. L’étirement de certaines zones peut entraîner une baisse du piqué tandis que le recadrage opéré pour supprimer les zones blanches de l’image s’accompagne inévitablement d’une réduction de la définition des images (possibilité ici de faire un lien vers l’article Définition et résolution qui n’est pas encore publié), quand il ne coupe pas carrément une partie du bâtiment. C’est la raison pour laquelle les objectifs à décentrements sont tant appréciés des photographes d’architecture.

Ils sont également parfois utilisés en paysage pour réaliser plusieurs clichés des différentes zones sans déformation des perspectives en vue d’un assemblage en panoramique. Pour que le décentrement du bloc optique n’entraîne pas de vignetage sur l’image, les objectifs pourvus d’un tel mécanisme disposent toujours d’un champ de couverture supérieur à la taille des capteurs pour lesquels ils sont conçus. 

 

 

Bascule du plan de netteté 

 

Si le mouvement de décentrement est adapté à une bonne gestion des perspectives, celui de bascule – consistant à incliner l’objectif sans déplacer l’appareil et donc le capteur – va quant à lui jouer sur le plan de netteté. Pour comprendre son incidence, il faut se référer à la loi optique de Scheimpflug. Elle dit que le plan de l’image – donc du capteur -, le plan de l’objectif et le plan de netteté se coupent toujours en une même droite. Dans des conditions courantes de prise de vue, le plan de l’image et le plan de l’objectif étant parallèles l’un à l’autre, le plan de netteté se trouve donc également parallèle à eux : tous les éléments qui se trouvent à la distance de mise au point seront donc nets, quelle que soit leur position dans l’image.  

Si l’on incline le plan de l’objectif, ce que permet le mouvement de bascule de certains objectifs, le plan de netteté va lui aussi s’incliner. Sur un portrait en pieds réalisé de face, il est ainsi possible de faire la mise au point sur les yeux et que le bas du corps soit complètement flou. La loi de Scheimplug est généralement employée lorsque la profondeur de champ n’est pas suffisante pour que la totalité du sujet apparaisse nette à l’image. En inclinant le plan de netteté de manière à ce qu’il coupe le sujet dans sa plus petite épaisseur, il y a besoin de moins de profondeur de champ pour que ce dernier soit entièrement net.  

C’est une technique qui est souvent employée au studio quand la mise au point rapprochée sur de petits objets entraîne une diminution de la profondeur de champ. Mais l’effet inverse, qualifié d’anti-Scheimpflug, peut aussi être utilisé pour modifier l’effet naturel de la profondeur de champ et pour accentuer le regard sur une zone donnée de l’image. Cet effet est simulé par les modes Miniature des appareils photo avec un résultat beaucoup moins esthétique car appliqué de manière logicielle sur certaines zones de l’image, sans considération de la distance réelle des différents éléments. 

Les objectifs à bascules et décentrements sont toujours pourvus d’un mécanisme de rotation de manière à ce que leurs mouvements de translation ou d’inclinaison puissent être réalisés à l’horizontale comme à la verticale, dans toutes les directions. Complexes, ce sont des objectifs chers mais indispensables pour certains photographes. Il existe aussi sur le marché des objectifs équipés uniquement d’un mouvement de décentrement ou d’un mouvement de bascule aux tarifs plus accessibles. 

 

Apprendre la photographie nécessite une approche aussi bien théorique que pratique et aussi bien technique qu’esthétique. Ce que propose l’école EFET Photographie située à Paris au travers de différents cursus adaptés aux étudiants bacheliers comme aux professionnels en reconversion. L’inscription se fait sur dossier et entretien de motivation.

Instagram et la photographie

Actualité publiée le 20 septembre 2023

Instagram, réseau social faisant partie du groupe Meta, a connu un succès fulgurant ces dernières années : il a dépassé le milliard d’utilisateurs. Cette application mobile a fait de pratiquement tout le monde un photographe amateur. Très prisé par les jeunes, mais pas que, cet outil a su rendre la photographie accessible à un grand nombre de personnes.  

 

© Trusted Reviews

L’histoire du réseau au milliard d’utilisateurs 

 

Le cerveau derrière cette application de partage de photos et de vidéos est celui de Kevin Systrom. L’aventure débute en 2009, lorsque Kevin Systrom sort diplômé de l’Université de Stanford, et commence à travailler pour la start-up Nextstop où il apprend à coder. Il développe un prototype qu’il baptisera Burbn, en référence au whisky bourbon. En mars 2010, au cours d’une fête pour la startup Hunch, Systrom fait la rencontre de deux investisseurs en capital-risque de Baseline Ventures et Andreesen Horowitz. Ces derniers investiront 500 000 dollars afin que Systrom puisse approfondir son projet et créer son entreprise.  

Très vitre Mike Krieger, 25 ans, ayant étudié à ses côtés à Stanford, se joindra à lui. Pour l’application, ils souhaitaient se concentrer davantage sur la photographie mobile. Ils se sont ainsi inspirés de deux outils majeurs : Hipstamatic (application mettant avant des filtres pour photos) et Facebook.  

Ils ont décidé de renommer l’application « Instagram » en fusionnant les mots instants et télégramme. 

En octobre 2010, Instagram, seulement disponible sur les appareils iOS, attire 25 000 utilisateurs en seulement une journée, 100 000 au bout d’une semaine et 1 million en décembre de cette même année. 

Avril 2012, est une période clé pour l’histoire d’Instagram, l’application mobile étant enfin devenue téléchargeable sur les téléphones Android. À cette période, Facebook fait une offre d’un milliard de dollars afin de racheter Instagram, qui va l’accepter peu de temps après. 

En 2013, Instagram décide d’introduire les « stories » dans son algorithme, sur le même modèle que Snapchat. En 2016, c’est IGTV qui débarque sur la plateforme : des vidéos de format assez long 

En 2018 Kevin Systrom et Mike Krieger décident de démissionner, marquant ainsi une nouvelle ère pour le réseau social.  

 

Quel impact sur la photographie ?  

 

Aujourd’hui Instagram a énormément démocratisé la photographie mobile. Cela va de pair avec le fait que la qualité de la caméra des smartphones fait de plus en plus concurrence à celle des appareils photos numériques 

Les photographes amateurs trouvent à cette plateforme bien des avantages comme la possibilité de découvrir la photographie et de partager leurs créations avec leurs abonnés. Les photographes professionnels, quant à eux, sont un peu plus embêtés par les contraintes qu’impose la plateforme : certains thèmes plus simplistes (portraits, photographie de rue) connaîtraient moins de succès que d’autres clichés plus impressionnants (photos de paysage par exemple). Cela devient un inconvénient lorsqu’il faut se plier aux critères d’Instagram au risque de voir ses créations dignes d’attention, passer inaperçu 

De plus, certains estiment que la course aux likes serait une chose qui pousse les personnes à poster pour…poster. L’art de la photographie passe ainsi au second plan et serait simplement un prétexte pour gagner en notoriété.  

Un autre élément qui a été vivement critiqué à ses débuts est l’apparition des « reels » : ces vidéos courtes dans le même format que les vidéos Tik Tok. Un réseau qui était de base principalement consacrée à la photographie, a commencé à délaisser certains artistes et leurs travaux, au profit d’un contenu plus « accrocheur ».  

Comme toute plateforme Instagram a ses avantages 

  • Rester connecté avec ses proches 

  • Mettre en lumière son travail 

  • Encourager des artistes 

  • Pouvoir s’inspirer d’eux, et plus encore 

Et ses inconvénients :  

  • L’obsession du nombre de followers et de likes 

  • Idéaliser la vie des autres et se comparer  

  • Algorithme qui pousse à une consommation excessive. 

Le tout est de savoir utiliser ce réseau consciencieusement et avec modération !  

 

La photographie est un art qui ne cesse de gagner en popularité et qui mérite d’être maîtriser avec expertise. Pour ce faire quoi de mieux qu’une formation en photographie ? L’EFET Photographie propose un Bachelor Photographie avec toutes les bases nécessaires aux professionnels d’aujourd’hui. Plus qu’une passion, faites de la photographie votre métier !  

Quelle différence entre résolution et définition ?

Actualité publiée le 15 septembre 2023

Si les deux termes se rapportent à l’imagerie numérique, ils ne désignent pas la même chose et sont régulièrement employés à mauvais escient. Que désigne donc précisément les termes de définition et de résolution ? 

 © Unsplash

La définition

Une photo numérique se compose de pixels, carrés, chacun d’une densité et d’une couleur données. La définition désigne alors le nombre total de pixels qui compose une image. Plus il est élevé, plus l’image comportement de détails. Par exemple, si une fleur était photographiée avec un appareil de douze pixels, vous ne verriez qu’une forme grossière avec un coeur, sans doute carré, et des pétales autour ; alors qu’avec plusieurs millions de pixels, vous pourriez distinguer la structure de ses pétales, ses étamines, son pistil, etc.  

Pour cette raison, les fabricants n’ont eu de cesse de faire croître la définition des capteurs qui équipent leurs appareils. Quand 12 millions de pixels, ou mégapixels, étaient considérés comme une définition correcte il y a encore quelques années, la norme s’établit aujourd’hui plutôt aux alentours de 20 à 24 millions de pixels pour les plus faibles définitions de capteurs et peut atteindre 100 millions de pixels sur certains appareils moyen format.  

Exploitant les systèmes de stabilisation de capteur qui équipent leurs appareils, certains fabricants ont même développé des fonctions permettant par prises de vues successives avec déplacement du capteur entre chaque vue d’accroître la définition des images jusqu’à plus de 200 millions de pixels. Cette définition nominale des images est importante. Car si les détails n’ont pas été enregistrée au moment de la prises de vue, le ré-échantillonnage consistant à les créer par calculs logiciels, ne peut se faire sans garantie qu’il s’agisse bien des véritables détails du sujet. 

 

 

Une photo numérique n’a pas de résolution 

 

La résolution est un terme qui se rapporte à tout support capable d’afficher une photographie. Elle désigne le nombre de pixels par pouce, si la résolution est exprimée en dpi – dot per inch – ou ppp, que ce périphérique est capable d’afficher ou d’imprimer. Plus la résolution est élevée plus l’image semblera nette car le périphérique pourra montrer plus détails sur une même surface 

Une photographie numérique étant un fichier informatique, elle ne possède pas de résolution, juste une définition, et ce n’est que parce qu’un périphérique d’affichage ou d’impression est nécessaire pour que vous la voyiez que la notion de résolution est importante. En fonction de la définition de votre photo et de la résolution d’impression de votre imprimante, vous pourrez réaliser des tirages plus ou moins grand. Prenons pour exemple une photo dont la définition est de 24 millions. Elle fera donc 6000 x 4000 pixels si elle est au rapport 3/2. Imprimée avec une résolution de 300 dpi, cette photo mesurera 6000/300 = 20 pouces de long, soit 50,8 cm. Si elle est imprimée à 200 dpi, elle mesurera 6000/200 = 30 pouces soit 76,2 cm de long. Le tirage sera plus grand mais sa qualité de détail sera un peu moins bonne. Si l’on veut faire un tirage de 76,2 cm de long à 300 dpi, il faut alors une image dont la longueur en pixels est de 30 (pouces) x 300 (dpi) = 9000 pixels. Ce qui correspond à une photo numérique de 54 millions de pixels. D’où l’intérêt des appareils photo de haute définition pour réaliser de grands tirages avec une résolution élevée ! 

 

À l’école EFET Photographie, les étudiants des différents cursus – Bachelor en trois ans, Bachelor intensif en un an, cours du soir et cours à temps partiel – bénéficient tous d’une formation complète alliant théorie et pratique pour comprendre toutes les techniques et les différents métiers de photographe. Le recrutement se fait sur dossier et entretien individuel. 

L’Afghane aux yeux verts

Actualité publiée le 13 septembre 2023

« L’Afghane aux yeux verts » est très certainement la photographie la plus connue de Steve McCurry, devenu une réelle image-icône, représentant les réfugiés de guerre afghans, dans le nord du Pakistan dans les années 80.  

 

© PlaceMania

 

L’histoire de cette photographie 

En 1984, dans le camp des réfugiés de Nasir Bagh, McCurry photographie SharbatGula, une jeune fille de 12 ans. Elle devient très vite le visage de la guerre en Afghanistan menée par l’URSS. Sharbat avait quitter son village bombardé par les Soviétiques et traverser les frontières avec sa famille. Ses parents sont morts dans le périple.  

Sur le cliché, Sharbat était à l’école pour filles, sous une tente, en hiver. Elle est voilée d’un foulard rouge et possède une expression impassible et un regard perçant. Elle regarde droit dans l’objectif, donnant l’impression qu’elle fixe le spectateur, ce qui est presque intimidant. 

Lors d’un reportage Steve McCurry, raconte : « Elle a ce regard résilient, fort, digne et malgré le fait qu’elle soir orpheline et refugiée, on pouvait sentir qu’elle allait continuer à se battre ». Concernant la photographie en elle-même, il ajoute : « En l’espace de quelques secondes, tout était parfait, la lumière, l’arrière-plan et l’expression de ses yeux ». 

Le portrait de la jeune afghane a fait la couverture de National Geographic en juin 1985, montrant aux grand public les conséquences de la guerre par l’URSS en Afghanistan. 

Aujourd’hui  a 51 ans et est réfugiée en Italie.  

 

Steve McCurry, cephotographe explorateur 

Steve McCurry, né en 1950, est un photographe américain. Il a fait des études d’art et d’architecture à l’université de l’Etat de Pennsylvanie. Il a ensuite travaillé en tant que photographe pour le Today’s Post de King of Prussia en Pennsylvanie. Suite à cela, il s’aventure en Inde pour de nombreux voyages, en tant que photographe freelance. Il était membre de l’agence Magnum Photos depuis 1986. 

Assez tôt dans sa carrière, il traverse la frontière du Pakistan afin de se rendre en Afghanistan avant que le pays ne soit envahi par les Russes. Il avait pour habitude de cacher sa pellicule de photo sous des vêtements traditionnels pachtoun. C’est le début de sa carrière en tant que photographe de guerre. Il ira plus tard aux Phillippines, à Beyrouth, en Iran, en Irak et au Cambodge.  

Ses photographies, publiées à travers le monde, lui valent de nombreux prix comme le Robert Capa Gold Medal ou encore l’Oliver Rebbot Memorial Award. Plus récemment, il a obtenu la médaille du centenaire de la part de le Royal Photographic Society de Londres pour récompenser l’ensemble de sa carrière. 

En 2020, il publie même son dernier livre : In Search of Elswhere : Unseen Images aux Editions Laurence King Publishing 

 

L’EFET Photographie propose une formation complète qui permet de découvrir et de maîtriser l’art qu’est la photographie, de la meilleure des manières.Ses enseignements de qualité prodiguent toutes les compétences nécessaires auphotographes d’aujourd’hui.  

La photographie instantanée en plein boum

Actualité publiée le 7 septembre 2023

Elle aurait pu disparaître avec l’avènement du numérique. Or loin de là, la photographie instantanée, Polaroid ou Instax, est à la mode et se réinvente sans cesse pour le plus grand bonheur de tous.

 photo instantanée

© Pexels

 

Pionnière dans le domaine, c’est dans les années 40 que la société Polaroid invente le procédé instantané argentique. À l’époque, profiter d’un tirage immédiatement après la prise de vue était novateur et bien pratique pour les photographes qui pouvaient ainsi vérifier la qualité de leur exposition en studio avant de charger un plan film ou toute une bobine dans leur appareil.

Si le Polaroid a su gagner le grand public avec des appareils bon marché et simples d’usage, le numérique a rebattu les cartes et le procédé a quelque peu perdu de son intérêt. On le pensait à l’agonie lorsque les difficultés financières de la société américaine ont entraîné l’arrêt de production de nombreux produits, mais il a su se réinventer sous la marque Instax de Fujifilm à la fin des années 90. Les technologies utilisées par les deux marques diffèrent légèrement, mais leur principe reste le même : chaque film contient de la chimie qui une fois l’image exposée est étalée sur sa surface pour procéder à son développement.

Aujourd’hui, Polaroid – racheté par d’anciens salariés – et Instax continuent d’exploiter chacun leur procédé dans des machines dont les formats et les fonctionnalités ont énormément évolués.

 

 

Du mini au wide

Si le Polaroid résonne dans l’esprit de beaucoup comme le format carré, ce n’est pas le seul qui soit aujourd’hui employé. Fujifilm a commencé par lancer l’Instax au format mini, avec des images de 46 x 62 mm, avant de poursuivre en plus grand format, wide, de 99 x 62 mm pour finir par se lancer également dans le format carré de 62 x 62 mm en 2017.

Du côté de Polaroid, les films i-Type, 600 et SX-70 qui sont compatibles avec différents modèles d’appareils continuent de proposer une taille d’image de 79 x 79 mm fidèle aux modèles d’antan quand une version plus petite, le Go Film, a été lancée plus récemment avec une taille d’image de 47 x 46 mm.

La marque propose également des films au format 8×10 pour les utilisateurs de chambres photographiques avec une taille d’image de 24 x 19 cm ! On notera que le procédé Polaroid est également utilisé de manière détournée par certains artistes pour réaliser du décollement de gélatine par exemple. Le procédé Instax ne s’y prête en revanche pas bien.

 

 

Des machines de tous types de différentes marques

Si la photographie instantanée a retrouvé une nouvelle jeunesse, c’est sans doute parce qu’elle a su évoluer dans son offre de modèles compatibles avec ses différents formats de films.

Outre les anciens appareils Polaroid disponibles sur le marché de l’occasion, les films au format carré de la marque sont compatibles avec des appareils photo modernes, pilotables depuis un smartphone et munis de batteries rechargeables.

Chez Fujifilm, la gamme Instax se compose d’une multitude de boîtiers aux formats mini, wide et square dont le look varie de ludique et amusant à rétro. Surtout, la marque propose également des imprimantes bluetooth pour smartphone, elles aussi disponibles dans les trois formats, et même des appareils photo numériques équipés d’un module d’impression sur films Instax mini, wide ou square suivant les modèles.

Le procédé a connu un tel succès qu’il est aussi possible d’utiliser des appareils d’autres marques. C’est une des grandes spécialités de la marque Lomography qui propose plusieurs dizaines de modèles au design original et aux fonctionnalités variées. L’engouement pour le procédé Instax a été tel que même Leica avec le Sofort a un moment proposé un modèle compatible avec les films Instax mini !

 

Depuis 50 ans, l’EFET Photographie accompagne ses élèves dans l’apprentissage de toutes les facettes du métier de photographe et dans la découverte de tous les procédés qui font sa richesse. L’école propose plusieurs formations allant du Bachelor en trois ans aux cours du soir en passant par le Bachelor intensif en un an et les cours à temps partiel.

La macrophotographie

Actualité publiée le 6 septembre 2023

La nature offre de très belles choses à photographier. Le monde macroscopique est une ressource inépuisable pour les plus curieux et explorateurs. De la faune à la flore, jusqu’aux objets banals du quotidien, tout peut être capturé sous un angle différent et nouveau. Ainsi, la macrophotographie n’est autre qu’un moyen de relater la beauté des choses, qu’on ne peut pas voir à l’œil nu. 

 

© Pexels

 

Qu’est-ce que la macrophotographie ? 

 

La macrophotographie, c’est lorsque la taille du sujet photographié est au moins aussi grande que l’image formée sur le capteur. Le rapport de grandissement du sujet doit être de 1/1, c’est-à-dire que si le sujet mesure 1 cm, son image sur le capteur doit être de la même taille.   

Si la taille du sujet est inférieure à 1 mm, nous parlons de microphotographie. Lorsque la taille de l’image sur le capteur est plus petite que celle du sujet, il s’agit alors de proxiphotographie.  

 

Quel est le matériel nécessaire ?  

 

Afin de réaliser de bons clichés, il est important de se munir du matériel adapté. Au niveau des appareils photo, ceux qui sont recommandés sont :  

  • L’appareil reflex, offrant un grand choix d’objectifs. 

  • L’appareil sans miroir permettant d’intensifier la mise au point.  

  • Le capteur full frame (plein format) offrant une meilleure qualité ainsi qu’une profondeur de champ concentrée sur l’avant-plan qui est plus adaptée à la macrophotographie. 

  • Le reflex APS-C, plus accessible au niveau du prix et facile à utiliser.  

 

D’autres accessoires sont nécessaires pour faire de la photo macro  

  • La bonnette (ou les filtres close-up) : il s’agit d’une lentille additionnelle qui se visse à l’avant de l’objectif. Elle a le même rôle qu’une loupe, en agrandissant le sujet avant de l’imprimer numériquement sur le capteur. 

  • Les bagues allonges (ou tubes d’extension) : ce sont des tubes s’intercalant entre le boîtier et l’objectif de l’appareil. Elles permettent d’augmenter le tirage mécanique et donc d’obtenir un grandissement plus important.  

  • Le soufflet macro : il aide à se rapprocher du sujet sans réduire la distance entre la scène et l’appareil. Ce dernier possède un tirage modulable qu’il est possible de régler au millimètre près. 

  • Les objectifs macro : ils permettent d’arriver au rapport de reproduction 1/1tout en conservant une très bonne qualité d’image. 

  • Le trépied : dans ce type de photographie, la netteté et la clarté de l’image sont très importantes, ainsi aucun mouvement n’est toléré. Pour garder une bonne stabilité, le trépied est un indispensable.  

 

 

Que peut-on photographier ? 

 

Bien évidemment, lorsque nous pensons à la macrophotographie, les premières images qui nous viennent en tête, sont celles de la nature (insectes, plantes, fleurs…). Pour ce faire, rien de plus simple, il suffit de faire une petite virée dans un parc voisin, appareil à la main.  

 

En tant qu’individus, nous sommes aussi de très intéressants sujets pour les macrophotographes, certaines parties du corps, comme les yeux par exemple peuvent donner de très beaux clichés. 

La nourriture peut aussi être un bon sujet à capturer, comme les fruits par exemple. Pour aller plus loin, il est également possible de s’intéresser aux objets du quotidien, sujets par ailleurs très utilisés par certaines publicités commerciales.  

 

La photographie est un art plein de ressources, il est toujours possible d’en apprendre davantage en laissant parler sa créativité. Entreprendre une formation est le meilleur moyen d’acquérir tous les outils techniques requis dans ce domaine. Le Bachelor de l’EFET Photographie, forme en 3 ans des professionnels qui peuvent accéder à tous les secteurs de la photographie une fois diplômés. Si vous êtes un grand passionné de la photographie, restez au courant sur ce que propose l’école et n’hésitez pas à candidater !  

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