De l’intérêt d’une solide formation en photo

Actualité publiée le 26 mai 2023

S’il suffit d’appuyer sur le déclencheur pour « faire » une photo, réaliser de bonnes images et vivre du métier de photographe requiert des connaissances très variées. Accessibles hors Parcoursup, les formations proposées par l’EFET Photographie ont été élaborées avec cette approche pratique et professionnalisante dans le but d’apporter aux élèves toutes les compétences nécessaires pour devenir de bons photographes et vivre de leur activité.

 

Photogrpahe

De la théorie à la pratique

Si de nombreuses formations photo sont accessibles en ligne, parfois même gratuitement, elles ne proposent généralement qu’une approche très incomplète, purement technique ou basée uniquement sur la prise de vue. Or être photographe, c’est effectivement bien connaître son matériel, savoir choisir son appareil photo mais aussi ses objectifs et ses accessoires et bien s’en servir. Ce qui demande des connaissances théoriques solides et une approche pratique, encadrée à l’EFET par des professionnels compétents.

Mais être photographe, c’est aussi connaître toute la chaîne de l’image, réaliser un editing efficace, maîtriser la retouche photo, l’impression et les différents supports qui apporteront une interprétation différentes des images. Outre sa dimension technique, la photographie est aussi une discipline artistique qui s’inscrit dans un cheminement intellectuel faisant référence à des courants historiques, des codes spécifiques à ses différents domaines d’application et que chacun doit être capable d’explorer à sa manière pour s’exprimer, se différencier et développer son univers propre.

Souvent indépendant, le photographe doit également avoir une connaissance poussée de ses droits, des statuts sous lesquels exercer et de la stratégie à adopter pour vivre correctement de son travail. Tous ces domaines sont abordés dans les différentes formations proposées par l’école EFET Photographie.

Une école, plusieurs options

 

Afin de répondre aux besoins de tous, l’école EFET Photographie a mis en place plusieurs formations. La plus longue et la plus complète est le Bachelor Photographie en 3 ans, accessible pour les élèves de niveau Bac via un cursus de recrutement sur dossier, hors Parcoursup, selon un processus totalement transparent qui laisse ses chances à tous les candidats.

Les deux premières années, les étudiants abordent tous les aspects de la photographie avant de consacrer la dernière année de leur formation à leur spécialisation autour d’un projet personnel, la réalisation d’un book, d’un site web et d’une exposition présentée devant un jury de professionnels.

Le Bachelor intensif en un an se destine quant à lui aux professionnels en reconversion ou aux étudiants en réorientation âgés de plus de 25 ans. Dense et complète, cette année de formation débouche elle aussi sur l’obtention d’un titre RCNP de niveau 6 de Photographe reconnu par l’État et certifié par le Ministère du Travail.

L’EFET Photographie propose par ailleurs des formations à temps partiel, une journée par semaine ou en cours du soir suivant les formules pour tous ceux qui exercent en parallèle une autre activité dont ils ne peuvent se décharger entièrement. Comme pour les élèves qui suivent des formations à temps complet, les élèves profitent d’une formation exhaustive qui aborde tous les domaines de la photographie, du reportage au studio en passant par le laboratoire argentique, la retouche numérique et l’impression grand format. L’inscription se fait via un formulaire en ligne sur le site de l’école, suivi d’un entretien de motivation.

L’objectif de l’EFET Photographie est de former ses étudiants au plus proche de la réalité qui sera la leur et de proposer des formations qui s’adaptent aux profils de ses élèves.

Retour d’expérience d’un alumni de l’EFET Photographie

Actualité publiée le 23 mai 2023

Aurélien Corlay, ancien étudiant de l’EFET Photographie, partage sa première expérience professionnelle entant que photographe pour une compagnie de croisière française. Il raconte fièrement en quoi sa formation en Bachelor Photographie a eu un impact positif sur le début de sa carrière. 

 

Photographe croisière

 

“[…] J’ai pu, je pense en grande partie grâce au nom de votre école sur mon CV, être engagé comme photographe pour une compagnie de croisière. Je suis parti pour un périple de 5 mois sur un bateau du Ponant, une compagnie française, au standing « luxe », pour y photographier une partie des plus belles destinations du nord de la Méditerranée

Inutile de préciser que cette expérience était exceptionnelle, bien au-dessus de ce à quoi j’aurais pu prétendre avant d’intégrer votre Bachelor. Je suis donc très content et fier d’avoir pu effectuer ce contrat comme première expérience professionnelle. 

Il aura fallu, grâce à la pertinence de votre enseignement, seulement un an pour me faire passer de débutant à professionnel. Le poste que je viens d’avoir au Ponant demandait une maîtrise globale de la chaîne de production ; prise de vue, editing, mise en page, impressions, vente. 

De l’utilisation technique d’un boitier, d’un flash et d’un fond, à une maitrise de la suite Adobe et d’imprimantes spécifiques et de massicoteuses pour des tirages de qualité professionnelle, j’ai pu assumer toutes les demandes de ce poste grâce à la formation très complète de votre bachelor intensif. Et pour cela je vous en remercie grandement. 

Plus anecdotiquement, j’ai bien conscience d’avoir paru parfois un peu à la traîne, notamment vis à vis de l’intensivité du Bachelor, mais aujourd’hui il n’en est rien. Tout ce que j’ai appris, de tous les professeurs, m’est bien resté en tête et me sert aujourd’hui quotidiennement. 

Aujourd’hui j’essaie de m’orienter le plus possible vers la presse et la photographie de reportage. Il me reste encore beaucoup à parcourir et à apprendre mais je suis pleinement motivé ! 

Donc encore merci à l’équipe des enseignants de l’EFET Photographie pour leur enseignement parmi les plus pertinents, et merci à vous aussi pour m’avoir accompagné pendant cette année de formation. Au plaisir de vous recroiser à l’EFET Photographie 

 

Comme Aurélien, il possible de se former à la photographie pour trouver le métier qui vous convient le mieux. L’EFET Photographie, avec ses 50 ans d’expertise, est le lieu de formation idéal pour cela. 

A l’issue de la 3e année de Bachelor Photographie ou de l’année de Bachelor Intensif Photographie, l’école délivre un titre de niveau 6 de photographe, reconnu par l’Etat et certifié par le ministre du travail.  

 

Les cours sont dispensés par des professionnels aguerris qui adapte leurs enseignements à la réalité du métier.  

Au cours de la 3ème année, les étudiants travaillent sur la création book et un site web qui leur serviront de vitrine pour se lancer dans la vie professionnelle. Un atout majeur pour retenir l’attention des agences de communication ou de publicité ainsi que des services de presse ou d’édition 

Le pouvoir de la photographie dans la publicité

Actualité publiée le 9 mai 2023

La photographie publicitaire s’affiche partout. Sur les murs des villes, dans les couloirs du métro ou sur le papier glacé des magazines : nul ne peut y échapper. Le but de la photographie en publicité est de faire rêver le consommateur et de provoquer des émotions pour l’emporter loin. À l’heure où nous sommes envahis par les écrans de toutes tailles, l’image fixe a-t-elle encore sa place ? Quel est le pouvoir de la photographie dans la publicité ?

visuel photo pub

© Pixabay

 

L’influence de l’image publicitaire

Pour marquer les esprits, il faut surprendre. Des images nouvelles doivent naître dans ce monde saturé d’informations, où l’œil est attiré et sollicité de tous côtés. L’arrivée des logiciels de retouche d’image a permis d’imaginer des photographies époustouflantes sans devoir y consacrer des sommes extravagantes. C’est la libération totale de la créativité du photographe ! La composition, les couleurs, l’ambiance : la photographie publicitaire fait rêver !

 

L’utilisation de la technique est indispensable : il faut lisser les formes et les matières pour les rendre plus esthétiques. Depuis quelques années, nous assistons néanmoins à un retour à l’authenticité. Atteindre le cœur du spectateur grâce à une histoire vraie, voilà aujourd’hui le but de la photographie en publicité.

 

 

Des photographies qui atteignent leur cible

Une grande complicité avec le modèle et un regard sincère sont le gage d’une image réussie. La photographie dans la publicité sert à provoquer une émotion.  En un clin d’œil, le cliché raconte une histoire. Elle emporte le spectateur là où il doit être emmené. L’heure est à la simplicité, car notre société a soif d’authenticité. Sur les supports traditionnels, l’image est fixe et sa force est intacte.

Malgré l’arrivée des nouveaux supports comme le web ou la vidéo, la photographie en publicité a encore de beaux jours devant elle.  La photographie dite commerciale doit avant tout séduire le lecteur. Il faut susciter l’envie de posséder l’objet ou de partir en voyage. Les qualités du produit doivent être mises en valeur.  Pourrait-on alors imaginer une publicité sans image ?

 

 

L’image, support de la communication de marque

Au fil des années, la photographie publicitaire est devenue un genre à part entière.  Des marques prestigieuses travaillent avec des photographes assurant exclusivement leur communication. Les photographes ne signent pas leurs images dans la publicité. Néanmoins, certaines collaborations sont célèbres.

 

Ainsi, on reconnaît au premier coup d’œil les photos de Sarah Moon lorsqu’elle réalise des clichés pour une célèbre marque de parfums, dans les années 1980. Des images aux couleurs surannées, au grain et au style si particulier.  Ce style onirique a marqué la mémoire collective. Photographie et publicité sont intimement liées.

Les images deviennent alors un élément à part entière de la communication des marques.

 

 

Le pouvoir de la photographie dans la publicité : un langage universel

Avec les réseaux sociaux et Internet, les icônes voyagent vite et facilement. L’image perdure en tant que support visuel universel, compris par tous. Un bon « packshot », c’est-à-dire la présentation du sujet dans un environnement approprié, avec une composition agréable, est le gage d’une photo de publicité réussie.

Création, sens de l’esthétique : la photographie en publicité exige la réalisation d’images soignées. La communication par l’image reste un atout majeur. Initiez-vous aux arcanes de la photographie publicitaire grâce aux formations proposées par l’EFET Photographie.

Bien choisir ses cartes mémoires

Actualité publiée le 5 mai 2023

De sa capacité et de ses performances dépendent celles de votre appareil en photo et en vidéo. Choisir une carte mémoire, ce n’est donc pas seulement opter pour un format compatible avec votre appareil…. Explications.

visuel carte mémoire

© Pexel

Si ce n’est pas le seul critère de choix, il est évident qu’il faut avant tout choisir une carte mémoire adaptée au logement prévu à cet effet dans votre appareil. Commençons donc par nous intéresser aux différents formats existants. Les cartes MMC, SmartMedia, xD et autres Memory Stick ne se trouvent que sur des appareils anciens quand les CompactFlash sont encore employées dans certains reflex mais ont, elles aussi, été remplacées sur les modèles les plus récents. Aujourd’hui, vous trouverez donc deux grands types de cartes mémoires : les SD et les CFexpress, disponibles dans différents formats. Les microSD de 15 × 11 mm sont employées dans les tablettes, les smartphones, les camera d’action type GoPro ou les drones et les cartes SD de 24 × 32 mm dans la plupart des appareils photo. Les cartes CFexpress sont quant à elle utilisées dans les appareils les plus haut de gamme et les plus volumineux. Le format CFexpress Type B de 39 × 30 mm, de même dimensions que les cartes XQD, a été adopté par Canon, Fujifilm, Nikon, Panasonic, Sony, etc. quand le format CFexpress Type A de 20 x 28 mm n’est à ce jour utilisé que dans quelques appareils de la marque Sony. La première chose consiste donc à choisir une carte dont le format correspond au logement de votre appareil.

 

La capacité de stockage

De la capacité de stockage de votre carte mémoire dépend le nombre de photos et la durée des vidéos que vous pourrez enregistrer. Compte tenu de l’augmentation de la définition des capteurs et du poids important des vidéos, il est donc essentiel de choisir des cartes de grande capacité pour s’assurer d’une bonne autonomie. 32 Go ou 64 Go sont des capacités standard qui garantissent une autonomie correcte. Mais si vous faites beaucoup de vidéo, vous pourriez avoir intérêt à choisir une carte de capacité encore supérieure, 128 Go voire 256 Go. Cette donnée a d’ailleurs été à l’origine de l’évolution des cartes SD qui se sont appelées SDHC pour High Capacity lorsque leur capacité a été étendue jusqu’à un maximum de 32 Go puis SDXC pour eXtended Capacity pour les modèles les plus récents dont la capacité théorique a été portée à 2 To. Les cartes aux plus grandes capacités sont actuellement les CFexpress Type B qui atteignent 1, 2 et même 4 To. Songez néanmoins que plus vous stockez de contenu sur votre carte, plus vous risquez d’en perdre en cas de problème. Certains photographes préfèrent donc utiliser deux cartes de plus petites capacités qu’une seule « grosse » carte. Les appareils équipés d’un double logement pour cartes mémoires peuvent tous être paramétrés par débordement de l’une vers l’autre, par copie miroir pour avoir leur contenu en double exemplaire ou de manière à séparer le contenu en fonction du type de fichiers.

 

La vitesse d’écriture et de lecture

Pour profiter pleinement des performances de votre appareil, il faut également choisir une carte rapide. Sa vitesse d’écriture doit être suffisamment élevée pour enregistrer toutes les informations contenues par une rafale rapide et surtout une vidéo en haute définition. Ce point est donc essentiel. La vitesse de lecture a quant à elle une influence sur la rapidité avec laquelle vous pourrez copier son contenu sur votre disque. Cette vitesse a tout d’abord été signalée par la « classe » des cartes SD. Classe 6 indiquait par exemple un débit minimum en écriture de 6 Mo/s et classe 10 de 10Mo/s. En 2013, le standard UHS-II a été crée pour ce type de cartes : l’ajout d’une seconde rangée de connecteurs a permis d’accroître leur rapidité. Si les cartes SD UHS-I et UHS-II peuvent indifféremment être utilisées dans les appareils dotés d’un logement aux bonnes dimensions, il est impératif que sa connexion soit compatible UHS-II pour exploiter le potentiel supérieur de ce type de cartes. Ce qui n’est pas le cas de tous les appareils. Le débit des cartes UHS-I plafonne à 50 Mo/s. Complexe, le principe de classes a aujourd’hui été remplacée par une indication claire de la vitesse d’écriture et de lecture que l’on trouve inscrites aussi bien sur les cartes SD que les CFexpress.

 

Marque et qualité

Songez enfin que l’on n’accorde parfois qu’une importance relative aux cartes mémoires alors qu’elles sont les garantes de l’intégrité de vos photos et de vos vidéos. Si certains modèles sont disponibles à des tarifs attractifs sur des sites de vente en ligne, mieux vaut toujours privilégier des marques reconnues pour leur fiabilité. La durée de garantie peut être un bon indicateur, tout comme les conditions d’utilisation. Certains modèles bénéficient par exemple de matériaux plus robustes et d’une conception pensée pour résister aux chocs et aux intempéries.

La formation dispensée à l’EFET Photographie permet aux étudiants d’avoir toutes les connaissances nécessaires pour appréhender de manière professionnelle l’utilisation d’un appareil photo et le choix d’une carte mémoire.

Comment faire de la photographie sous-marine ?

Actualité publiée le 2 mai 2023

La photographie sous-marine est une spécialité qui requiert un grand sens esthétique, la maîtrise des méthodes de prise de vue, mais aussi d’un équipement technique adapté. Porte ouverte sur un monde fascinant, coloré et silencieux, la photographie sous-marine est un domaine d’expertise exigeant. Que nécessite la pratique de cette discipline, existe-t-il des formations adaptées ?

visuel photo sous marine

© Pixabay

 

Que faut-il savoir pour faire de la photographie sous-marine ?

La photographie sous-marine est une spécialité de la photographie animalière qui requiert un grand sens esthétique, la maîtrise des méthodes de prise de vue, mais aussi d’un équipement technique adapté.

 

C’est une discipline exigeante qui nécessite en premier lieu de savoir plonger et d’être à l’aise sous l’eau. En effet, au moment de la prise de vue proprement dite, il faut être capable de demeurer fixe face à un rocher ou un corail pour ne pas le heurter (au risque de se blesser ou de dégrader l’environnement). Une bonne photographie de fonds marins ne contient aucune particule en suspension disgracieuse, car le photographe sait se déplacer sans soulever le sable. Toujours serein et calme, il n’effraie pas les poissons à son approche et est donc en mesure de capturer des scènes naturelles et originales.

 

Pour pratiquer la photographie sous-marine, il faut bien connaître son matériel et s’entraîner sur la terre ferme. Afin de prendre des clichés sur le vif, le photographe doit retrouver facilement les boutons et les réglages de son appareil. Il s’est entraîné afin de manipuler son équipement à l’aveugle et vêtu d’une combinaison en polyester.

 

Enfin, le photographe spécialisé en photographie sous-marine est conscient des spécificités de sa discipline et sait ne pas se mettre en danger. C’est donc un bon technicien, un artiste amoureux des fonds marins et un sportif aguerri.

 

 

Photographie sous-marine : quelle formation pour quels débouchés ?

Pratiquer la photographie sous-marine nécessite d’être un bon plongeur et d’avoir acquis les certifications propres à la discipline sportive. Il faut parallèlement être apte à travailler techniquement les clichés, au moment de la prise de vue comme en post-production. Les méthodes de la photographie s’apprennent dans des écoles spécialisées.

 

Les professionnels officient généralement en parallèle comme vidéastes sous-mains. Ils travaillent dans le cadre d’expositions photo, pour des musées ou des chaînes de télévision à l’occasion d’un documentaire.

 

Il est essentiel que la formation du photographe sous-marin comprenne l’apprentissage professionnel des logiciels de retouche d’image. En effet, l’élément eau absorbe les couleurs de manière progressive : plus le photographe opère en profondeur, plus la teinte bleue est prédominante. Bien que les experts de la photographie sous-marine s’équipent d’instrument de gestion de la lumière dans l’eau, il est important d’effectuer une session de retouche numérique en post-production.

 

À titre d’exemple, l’école Efet Photographie a intégré à son parcours post-bac les enseignements du numérique et du digital. Les participants aux formations sont invités tout au long de l’année à travailler de manière collaborative sur des projets pratiques.

 

Se spécialiser en photographie sous-marine permet d’obtenir des clichés d’une beauté sans pareille. Elle œuvre à la sensibilisation du public sur la vie des écosystèmes sous-marins, malheureusement encore trop méconnus et trouve une audience qui grandit de jour en jour.

Des alumnis D’EFET Photographie aux Rencontres d’Arles

Actualité publiée le 28 avril 2023

Des alumni d’EFET Photographie ont participé aux Rencontres d’Arles, événement majeur de la photographie. Ils ont eu l’occasion d’exposer et vendre leurs créations. Cela s’est déroulé l’été dernier, l’équipe de France 3 a immortalisé cet échangeRetour sur ce festival de photographie. 

Visuel Arles

 © Efet Photographie

Les Rencontres d’Arles sont un festival annuel de photographie, se déroulant à Arles de juillet à septembre. Le photographe arlésien Lucien Clergue, l’écrivain Michel Tournier et l’historien Jean‑Maurice Rouquette ont créé cet événement pour la première fois en 1970. Aujourd’hui, il s’agit d’un festival de renom, connu au niveau international. Il connaît un grand succès depuis le début des années 2000, période où la photographie a connu un réel essorDurant les Rencontres, le public est invité à découvrir une quarantaine d’expositions présentes un peu partout dans la ville. Il y a aussi des stages encadrés par de véritables professionnels qui y sont proposés, ainsi, le public peut participer et en apprendre plus sur cet art.

 

Le lieu d’exposition idéal pour les futurs professionnels  

Une fois diplômés, le but des étudiants est d’apporter un maximum de visibilité sur leurs œuvres afin de retenir l’attention de professionnels. Il n’y a pas meilleur endroit que les expositions d’Arles pour ce faire. Une vingtaine d’alumni d’EFET Photographie Paris ont eu la chance d’être sélectionnés pour participer au festival : Ce festival pour nous en tant que promo, c’est l’occasion de montrer nos travaux à des professionnels, rentrer dans le monde du travail, de la photo. Et aussi vendre nos tirages surtout parce que toutes les œuvres que vous voyez ici sont disponibles pour l’achat ” dit une des anciennes étudiantes.  

visuel arles 2

© Efet Photographie

Le Bachelor de l’EFET Photographie, une formation pointue et reconnue par les professionnels du secteur 

Si ces alumnis ont pu exposer  leurs œuvres, c’est grâce à la qualité des réalisations qu’ils ont pu produire au cours de leurs études. L’EFET Photographie est une grande école ayant 50 ans d’expertise. Elle propose un Bachelor Photographie accessible dès le niveau Bac, formant les étudiants avec des enseignements de qualité. Il s’agit d’une formation reconnue par les professionnels du secteur. Durant cette formation de 3 ans, les étudiants abordent un large éventail de compétences techniques et artistiques nécessaires pour un photographe professionnel. Ils acquièrent à l’issue du cursus, une parfaite maitrise de la technique et de l’esthétique. Les trois années sont complétées par des stages leur permettant de mettre en pratique leurs connaissancesA la fin de la 3ème année, les futurs diplômés auront à réaliser un book, un site web ainsi qu’une exposition. Certains participent même à des festivals de renom tels que les Rencontres d’Arles. 

Photo d’architecture, quelques règles essentielles

Actualité publiée le 25 avril 2023

Il y a mille et une façons d’aborder la photographie d’architecture, suivant que l’on répond à une commande ou que l’on s’adonne à une démarche plus artistique et moins descriptive. Certaines règles restent néanmoins primordiales pour traiter son sujet avec méthode.

visuel archi

© Pixabay

 

La photographie d’architecture est une discipline très ancienne. Les premières photos de l’histoire ont été des photos de bâtiment quand les premières grandes commandes publiques, telle que la Mission héliographique engagée en 1851, portaient sur l’inventaire des bâtiments de France. Essentielle comme archive du patrimoine, la photo d’architecture est également un formidable terrain de jeu pour les photographes qui peuvent jouer sur les lignes directrices, les formes et les couleurs pour composer des images parfois presque abstraites. Avant d’aborder son sujet, la première chose à considérer est donc la finalité des images.

 

 

L’environnement

Si vous répondez à la commande d’un architecte ou d’un cabinet qui souhaite conserver une archive de ses réalisations, vous devrez certainement photographier le bâtiment dans son ensemble. Pensez donc au point de vue que vous pourrez aborder, à l’environnement et à la possibilité que vous aurez de prendre ou non du recul pour figurer votre sujet dans son contexte.

Pensez également aux objectifs qui vous serons utiles. La tentation d’opter pour une courte focale est grande, mais si vous êtes trop proche, vous pourriez accentuer les lignes du bâtiment et ne pas refléter l’effet voulu par son concepteur. Attention également au phénomène de distorsion dont souffrent certains objectifs grand-angle qui pourrait entraîner des déformations sur les lignes droites. Enfin, songez que si vous êtes proche, vous devrez sans doute adopter un point de vue en contre-plongée qui va déformer les perspectives. Les objectifs à décentrement sont les meilleurs alliés des photographes d’architecture pour éradiquer ce défaut. Si vous n’en possédez pas, cadrez large pour qu’après le rétablissement des perspectives dans votre logiciel, votre image présente encore le bâtiment dans son entièreté.

 

 

La lumière

Elle est essentielle dans le rendu des images et peut complètement modifier les lignes et les volumes d’un bâtiment. Avant votre séance de prise de vue, pensez à faire un repérage, en vous rendant sur place ou en analysant l’exposition sur le bâtiment avec Google Earth par exemple. Évitez le moment où il sera à contre-jour. Les lumières rasantes du soir et du matin peuvent en revanche en souligner les lignes et les matières tandis que la lumière crue de la mi-journée peut produire des ombres graphiques intéressantes si vous disposez d’une certaine liberté de création. Pensez donc à choisir un jour où la météo est favorable, prévoyez suffisamment de temps sur place pour profiter de différentes lumières ou prévoyez plusieurs jours de prise de vue pour saisir différentes conditions de lumière.

 

 

Pensez aux détails

Outre les formes globales du bâtiment, l’architecte attendra certainement de vous des photos qui décrivent de jeux de volumes et de matière. Car chacun de ces éléments a été pensé avec soin et participe de son savoir-faire. Variez alors les points de vue. Si c’est possible, entrez à l’intérieur du bâtiment, levez la tête ou au contraire optez pour des plans en forte contre-plongée pour faire ressortir les éléments graphiques d’une charpente, d’un escalier, de façades qui se répondent. Le plus important est alors de tourner autour de votre sujet pour en déceler les moindres recoins.

La photographie au drone pour des vues du ciel se répand également de plus en plus en architecture. Songez enfin que la photographie d’architecture se doit d’être un minimum descriptive. Favorisez donc les grandes profondeur de champ en fermant le diaphragme de l’objectif pour un maximum de netteté. Un trépied vous sera utile pour régler une basse sensibilité tout en conservant une bonne netteté, même si votre temps de pose est long.

Pensez également que de très longs temps de pose permettront que si du public circule dans le bâtiment, il apparaisse flou, donc non reconnaissable mais qu’il apporte de la vie et du dynamisme. Faites différentes tentatives et pensez que la variété des cadrages, des ambiances et des points de vue assureront la réussite de votre reportage.

 

 

L’EFET Photographie propose une formation professionnelle et technique en photographie qui répond aux nouvelles exigences du métier telles que les photographies d’architecture.

De l’incidence de la taille du capteur

Actualité publiée le 17 avril 2023

 Il ne vous a sans doute pas échappé que les appareils photo que l’on trouve sur le marché ne sont pas tous équipés de capteurs de mêmes tailles. Quelles incidences ces dimensions ont-elles en pratique sur le matériel et sur la qualité des images ?

 

capteurs

© Pixabay

 

 

 

Outre leur type de visée, optique – TTL ou télémétrique – ou électronique, et leur faculté à changer d’objectif ou non, les différents appareils du marché se distinguent par la taille de leur capteur. Les plus petits n’excèdent pas la taille d’un ongle : 4,54 mm x 3,42 mm pour les capteurs Type 1/3,2″, 6,17 mm x 4,55 mm pour les Type 1/2,3″ ou encore 13,2 mm x 8,8 mm pour les capteurs Type 1″. On les trouve dans les smartphones et dans certains appareils compacts et bridge. Au dessus se trouvent les capteurs 4/3 de 17,3 x 13 mm exploités par Panasonic et OM System, anciennement Olympus, dans leurs appareils photo hybride de la gamme micro 4/3, puis les capteurs APS-C qui mesurent 22,3 × 14,9 mm dans les appareils Canon et 23,6 mm x 15,7 mm pour les autres marques comme Fujifilm, Leica, Nikon, Sony ou Pentax. Considérés comme les capteurs les plus performants, les 24×36 mm reprennent les dimensions bien connues des images argentiques en « petit format » et sont intégrés aux appareils des marques Canon, Leica, Nikon, Panasonic ou encore Sony. Ce ne sont pas les plus grand capteurs que l’on trouve sur le marché. Au dessus encore, se situent des modèles qualifiés de « moyen-format » en référence aux systèmes argentiques dont les dimensions sont de 43,8×32,9 mm. On trouve aujourd’hui ces capteurs dans des appareils des marques Fujifilm, Hasselblad ou encore Pentax.

 

 

Encombrement et champ de couverture

La première conséquence à ces différentes tailles est celle de l’encombrement des appareils et des objectifs. Plus le capteur est grand, plus l’appareil l’est aussi, tout comme les objectifs qui pour couvrir une plus grande taille de capteur doivent comporter de plus grandes lentilles. Ils sont donc eux aussi plus lourds et encombrants.

L’autre conséquence réside dans le champ réellement couvert par un objectif d’une focale donnée.

Car plus le capteur utilisé est petit, plus il va opérer un recadrage dans l’image et réduire le champ couvert par un objectif. C’est pourquoi dès que l’on utilise des systèmes équipés de capteurs dont la taille n’est pas 24x36mm, on a pris l’habitude de parler de leur focale équivalente

Les capteurs APS-C et les systèmes micro 4/3 sont donc appréciés par les photographes de sport ou d’animalier qui profitent de ce facteur de correction de focale d’1,5x, 1,6x ou 2x suivant les capteurs pour cadrer plus serré. Le même phénomène donne aussi un avantage à ces plus petits capteurs en photomacrographie.

 

 

La qualité d’image

À définition – la taille en pixels des images – équivalente, les grands capteurs disposent de cellules photosensibles – les photodiodes – plus grandes, ce qui a une incidence positive sur la qualité des images. Car des photodiodes plus grandes reçoivent plus de lumière. Ces capteurs affichent donc une meilleure dynamique d’enregistrement, ils saturent moins vite lorsqu’ils reçoivent une grande quantité de lumière, et une meilleure qualité d’image en haute sensibilité. Cette affirmation demande néanmoins d’être nuancée par deux remarques : elle vaut à définition d’image égale, car un capteur 24×36 de 61 Mpx possède des photodiodes de même taille que celles d’un capteur APS-C de 24 Mpx, quand la technologie du capteur a également une incidence directe sur sa qualité en haute sensibilité. Les capteurs dits « rétroéclairés », BSI en anglais, sont meilleurs en haute sensibilité que les Cmos traditionnels. Enfin, notez que la taille du capteur a également une incidence sur la profondeur de champ. Plus le capteur est grand, plus il est aisé d’obtenir de faibles profondeurs de champ et donc des bokeh intenses.

 

 

Grâce au programme bachelor de l’EFET Photographie, les étudiants apprendront toutes les méthodes et tous les secrets d’un appareil photo. En effet l’école parisienne permet aux étudiants de développer un éventail de compétences techniques et artistiques indispensables à l’exercice du métier.

Quelles sont les qualités requises pour être un bon photographe ?

Actualité publiée le 4 avril 2023

Le métier de photographe est à cheval entre la vision de l’artiste et le travail précis du technicien. Pour faire carrière, il faut avoir des aptitudes innées et les faire évoluer pour transformer son talent brut en savoir-faire technique. Alors quelles sont les sept qualités d’un bon photographe ?

qualités photographe

 © Pexels

 

Quelles sont les qualités naturelles qui font un bon photographe ?

Un bon photographe fait preuve de qualités naturelles, qui tiennent à son âme d’artiste et à sa passion.

  • Il a le sens de l’observation. Avoir l’œil, c’est finalement prendre un cliché d’un sujet ordinaire et de le transformer, par son sens de la prise de vue, en une image exceptionnelle.
  • C’est un artiste obstiné. Malgré les ratés et les clichés qui n’atteignent pas ses attentes, c’est un artiste persévérant. L’opiniâtreté est un de ses atouts essentiels, car elle lui permettra d’évoluer et d’améliorer ses photographies.
  • C’est une personne qui fait preuve de réserve. Il est habité d’une certaine pudeur, attitude qui lui permet de conserver l’authenticité de ses sujets. Cela passe par son comportement, mais aussi par le choix du matériel adapté.
  • Il a un caractère calme et endurant. La patience est une qualité primordiale pour un bon travail de photographe. Attendre les « Golden Hours » du soleil ou la bonne pause du sujet peut être long. Prendre son temps lui permet aussi de poser un juste regard sur son travail et ainsi d’améliorer sa technique en effectuant des réglages minutieux.
  • Un bon photographe est original. C’est un artiste qui pense en dehors des sentiers battus, son anti-conformisme naturel se transcrit dans ses clichés.

 

Travailler ses qualités et se former pour devenir un bon photographe

Pour produire un travail de qualité, digne d’un bon photographe professionnel, il faut travailler son talent pour le transformer en compétences techniques.

  • Il sait s’entourer. Il est nécessaire de prendre conscience de ses points forts et faibles pour les travailler, mais pas au prix de sa motivation. Un bon photographe saura s’entourer d’autres professionnels de l’image au regard critique et motivant. C’est à l’occasion de sa formation qu’il rencontre ces personnes.
  • Il travaille sa technique et son organisation. Sur le plan professionnel, cette qualité s’acquiert grâce à l’expérience.

Pour faire carrière en tant que photographe, il est donc demandé d’avoir un certain nombre de qualités. Fort heureusement chacune d’entre elles peut se travailler avec la formation adéquate. C’est pour cela qu’il est fortement préconisé aux étudiants souhaitant devenir photographe de se tourner vers une école spécialisée, comme l’EFET Photographie.

 

Dans l’univers de la photographie, tout n’est pas qu’une question de don. Même le plus talentueux des artistes travaille ses capacités et un bon photographe sait qu’il lui faut travailler ses qualités au niveau technique. S’améliorer demande donc d’avoir conscience de ses aptitudes ainsi que d’acquérir un savoir-faire technique.

Qu’est-ce que la photographie en accéléré ?

Actualité publiée le 29 mars 2023

La photographie en accéléré, ou Timelapse, est une technique qui permet de réaliser une vidéo en accéléré à partir d’une multitude de clichés. Elle offre une nouvelle perspective sur une situation en la décrivant visuellement beaucoup plus rapide qu’en réalité. Très à la mode, en quoi consiste cette méthode de photographie professionnelle et comment s’y former ?

 photo accéléré

 © Pexels

 

Pourquoi choisir la photographie en accéléré ?

Avoir recours à la photographie en accéléré, c’est créer une vidéo animée depuis son appareil photo en faisant se succéder rapidement un très grand nombre de clichés. Le principe s’inspire de la chronophotographie : le fait de capturer une très grande quantité de photographies à des intervalles de temps réguliers.

De nos jours appelée Timelapse, la photographie en accéléré est montée au moyen de logiciels informatiques de pointe. Les clichés (quelques dizaines de milliers) sont assemblés à une cadence de 24 images par seconde sur une interface de montage vidéo.

Les intérêts de la photographie en accéléré sont multiples et nombreux :

  • Elle permet d’admirer les mouvements lents du paysage : le passage des nuages, les changements de lumière, le défilement des étoiles, les levers et couchers de soleil, etc.
  • Elle offre de voir les mouvements de la nature : l’éclosion d’une fleur, la pousse d’une plante, le pourrissement des fruits, la fonte de la glace.
  • En milieu urbain, elle met en relief le déplacement des personnes ou des voitures et offre des effets visuels inédits grâce aux diverses sources lumineuses (phares des véhicules, enseignes éclairées, etc.).

 

 

Comment faire de la photographie en accéléré ?

La photographie en accéléré nécessite d’utiliser son appareil photo en mode manuel (à condition qu’il y ait peu de variations de lumière à l’endroit du shooting). En effet, pour obtenir un Timelapse, il est essentiel que l’exposition varie peu d’une photo à l’autre.

En revanche, afin de capturer des photographies en accéléré avec des conditions de lumières qui changent (comme c’est le cas d’un coucher de soleil par exemple), il faut paramétrer son équipement en mode priorité ouverture. Sachez que de nos jours, il est tout à fait possible de réaliser d’excellentes photographies en accéléré au moyen d’un smartphone.

Dans tous les cas de figure, il faudra reprendre les clichés en post-production afin d’éviter les erreurs de scintillement ou de luminosité. C’est aussi un passage obligé pour monter les photographies en vidéo. Généralement, les photographes utilisent les interfaces Première Pro ou Final Cut Pro.

La photographie en accéléré requiert donc de bien maîtriser son équipement photographique, ainsi que les logiciels professionnels de retouche numérique. C’est à l’occasion d’une formation technique de haut niveau que s’obtiennent les compétences nécessaires pour maîtriser ces deux éléments. Les photographes professionnels suivent en effet un cursus technique au sein d’un établissement spécialisé, comme l’EFET Photographie.

 

La photographie en accéléré est une méthode de mise en forme d’une suite de clichés. Très technique, elle requiert un grand nombre de connaissances et de compétences en informatique et en photographie.

200